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Comprendre et pratiquer le fist-fucking peut susciter des réticences chez de nombreuses personnes, et cela peut être justifié. L’idée d’insérer des objets volumineux dans le vagin ou l’anus, tels qu’un gode imposant, un pénis volumineux, voire un poing entier, peut sembler intimidante. Le fisting, en particulier, reste souvent entouré de tabous. Cependant, une meilleure compréhension de cette pratique pourrait permettre aux personnes d’explorer davantage et d’apprécier cette expérience sans jugement. Qu’est-ce que le fist-fucking et comment le pratiquer ?
La pratique du fist-fucking, de quoi s’agit-il concrètement ?
Le « fisting », qui signifie littéralement « poing », consiste à introduire une main entière dans un orifice. Bien que cette pratique soit souvent associée aux vagins, elle peut également être réalisée au niveau des anus, prévoyant ainsi une abondance de lubrifiant et une préparation approfondie. N’hésitez pas à lire l'explication pour en savoir plus.
Liz Powell, éducatrice sexuelle, coach et psychologue spécialisée dans les questions LGBTQ, souligne que bien que le fisting soit parfois perçu comme une pratique sexuelle plus extrême, il est courant dans certaines communautés. Ce s'observe en particulier au sein de la communauté queer, où il est moins sujet à des jugements négatifs de la part des personnes sexuellement positives.
Les raisons d’explorer le fisting
Bien réalisé, le fisting peut offrir une expérience sexuelle extrêmement plaisante. Selon le Dr Powell, il procure une sensation de plénitude inégalée, stimulant simultanément une plus grande étendue de tissus. Sur le plan psychologique, beaucoup donne le sentiment d’ouverture totale. Au-delà de la satisfaction physique, le fisting peut créer une intimité exceptionnelle entre les partenaires.
L’observation de sa principale entière à l’intérieur du partenaire, la chaleur et la force ressenties de l’intérieur ajoutent une dimension unique à l’expérience. C’est une forme de pénétration permettant un contact visuel si désiré, permettant au donneur d’être pleinement présent dans le plaisir du receveur.
Pratiquer le fisting en toute sécurité
Une fois que le partenaire passif montre des signes de préparation et exprime clairement le désir de s’engager, vous pouvez passer à l’action. Il est essentiel de noter que le fisting anal nécessite des procédures de nettoyage rigoureuses pour les participants passifs.
Ainsi que des mesures pour les partenaires actifs, telles que l’utilisation de gants stériles, afin d’éviter toute perforation accidentelle de la paroi intestinale. Ces précautions incluent souvent un lavage préalable avant de procéder à l’acte.
Préparation au lavement et au fisting : des étapes cruciales
Avant de procéder au lavage, il est recommandé d’éviter les aliments susceptibles de provoquer une fermentation excessive pendant les 24 heures précédentes. Un rinçage à l’eau froide dans les 7 à 8 heures précédant l’activité est également préconisé.
Pour ceux qui pratiquent régulièrement le fisting, un bain séparé avec un tuyau peut être envisagé pour un nettoyage en profondeur des intestins, environ 20 minutes suffisantes généralement. Une fois cette étape terminée, assurez-vous que le « dessus » ne soit pas en contact avec les excréments, et prenez des pauses régulières toutes les 10 à 20 minutes.
N’omettez pas les préliminaires, qui jouent le rôle d’échauffement crucial. Laissez le poing être aspiré naturellement, en veillant à vous arrêter si votre partenaire ressent une douleur ou si son intimité se serre. La clé réside dans la douceur et la lenteur, chaque micro-mouvement de la main étant ressenti intensément. Lorsque vous souhaitez vous retirer, changez soigneusement la position de votre main en une forme en « canard » et retirez-vous très lentement, entraînant tout mouvement brusque pour assurer le confort et la sécurité de votre partenaire.